Une série d'hommages ne saurait être complète sans la présence du personnage créé en 1946 par le dessinateur franco-belge Maurice de Bevere, dit Morris, Le western humoristique né sous son crayon aura considérablement évolué au fil des ans, graphiquement et scénaristiquement (qu'on me permette ici ce modeste néologisme) parlant.
Si le trait a considérablement gagné en précision pour finir par donner à Lucky Luke l'apparence charismatique et caractéristique qu'on lui connaît aujourd'hui, c'est avec l'arrivée de René Goscinny à l'écriture que les aventures de celui qui tire plus vite que son ombre (donc à plus de 300 000 km par seconde, tout de même !) prennent un tournant décisif, avec des personnages hauts en couleur et des dialogues percutants, les albums réalisés par le tandem restant à ce jour parmi les plus connus (Billy the Kid, Calamity James, Dalton City...).
Pour la petite anecdote, l'une de mes premières bandes dessinées scénarisées, réalisée lorsque j'avais neuf ou dix ans, fait ouvertement référence à la célèbre série dans son titre, Luc et Luke. L'histoire, un buddy-movie parsemé de courses-poursuites en voiture et de batailles mémorables contre des hordes de créatures surnaturelles, n'a pourtant pas grand-chose à voir avec Lucky Luke, si ce n'est peut-être les décors désertiques, fort pratiques à dessiner pour quelqu'un qui, justement, ne sait pas dessiner.
Si le trait a considérablement gagné en précision pour finir par donner à Lucky Luke l'apparence charismatique et caractéristique qu'on lui connaît aujourd'hui, c'est avec l'arrivée de René Goscinny à l'écriture que les aventures de celui qui tire plus vite que son ombre (donc à plus de 300 000 km par seconde, tout de même !) prennent un tournant décisif, avec des personnages hauts en couleur et des dialogues percutants, les albums réalisés par le tandem restant à ce jour parmi les plus connus (Billy the Kid, Calamity James, Dalton City...).
Pour la petite anecdote, l'une de mes premières bandes dessinées scénarisées, réalisée lorsque j'avais neuf ou dix ans, fait ouvertement référence à la célèbre série dans son titre, Luc et Luke. L'histoire, un buddy-movie parsemé de courses-poursuites en voiture et de batailles mémorables contre des hordes de créatures surnaturelles, n'a pourtant pas grand-chose à voir avec Lucky Luke, si ce n'est peut-être les décors désertiques, fort pratiques à dessiner pour quelqu'un qui, justement, ne sait pas dessiner.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire